La classe africaine (17). Le maître d’école de Bobo-Dioulasso, qui ne compte pas ses heures pour faire progresser chaque enfant, fait des miracles et déjoue tous les pronostics.
Maxime : Ma vocation s’est construite, elle n’était pas spontanée », dit-il. A Kouka, il y eut tout de même un déclic. Sa première fierté d’enseignant, dont il se rappelle comme si c’était hier, porte le nom de Sidiki Dao. « Je l’avais en classe de CM1. Son papa était paysan. Je savais qu’il était brillant mais que, s’il restait à Kouka, il n’aurait pas beaucoup de chances de terminer sa scolarité. » Maxime Sou décide d’emmener Sidiki avec lui lorsqu’il est muté à Bama, plus au sud. Quelques années plus tard, Sidiki Dao intégrera l’école la plus prestigieuse du Burkina Faso, le Prytanée militaire de Kadiogo. « Aujourd’hui, il est sous-lieutenant. »
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Le Monde
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