Ce n’est que plus tard, après qu’il eut rallumé son portable que les limiers qui étaient à ses trousses ont pu le localiser… au marché Okass. Mais, avant que ceux-ci, accompagnés de sapeurs-pompiers, n’arrivent sur place, le tailleur s’était de nouveau évaporé.
En attendant que les forces de l’ordre lui mettent le grappin dessus, combien de personnes le tailleur va-t-il contaminer ?
Etait-il pertinent d’informer le tailleur de son état de santé au téléphone ?
Walfnet