Dynamique et charismatique, le jeune leader des Champs de course, Chérif Atkhana Fall, s’est taillé une bonne réputation auprès de la population pour ses nombreuses actions sociales et sa foi inébranlable au développement local.
Pour le mouvement And Dolel Cherif Akhtena Fall (ADC@F), le juriste de formation, tutélaire d’un Master II en Partenariat Public-Privé, a toutes les compétences et incarne toutes les valeurs requises pour se départir de la vielle classe politique, afin qu’une alternance générationnelle s’opère dans le landerneau politique de la ville de Diourbel, lors des prochaines élections locales, prévues le 23 janvier 2022.
Préoccupé par la quotidienneté des souffrances des populations dont la majorité est frappée en plein fouet par un chômage chronique, sous l’œil myope d’une classe dirigeante en déphasage avec les aspirations de leurs administrés, M. Chérif Atkhana a été convaincu par son devoir sacerdotal de participer activement à l’amélioration des conditions de vie de sa communauté, le véritable mobile de sa décision de s’engager en politique pour inverser la tendance.
Mais ce choix murement réfléchi est arrimé à sa vision orientée sur une approche participative et inclusive. Le tout, chevillé à son attachement sans faille aux valeurs socio-culturelles de la société sénégalaise et son sens élevé de la responsabilité, lui distique des arrivistes politiques qui se sucrent sur le dos des populations.
Avec un homme engagé pour le développement local et l’amélioration des conditions de vie des jeunes et des femmes de tout âge, dont la vision éclairée trouve sa source d’inspiration à la quête permanente des lendemains meilleurs pour sa communauté, la jeunesse sera à l’honneur et l’espoir est permis que la rupture avec la gestion archaïque des affaires publiques soit une réalité.
L’homme n’avance pas les yeux masqués. son message est clair comme l’eau de roche. Il affirme tout haut ce que les gens passent tout bas. Il fait partie de ceux qui croient que »le temps d’un pouvoir central qui planifiait au niveau de la base pour appliquer ses politiques aux échelons inférieurs est révolu ».
Le MOUVEMENT DE SOUTIEN ADC@F fait ci-dessous la présentation de l’homme politique qu’il a décidé d’accompagner. Lisez….
I.CONTEXTE ET JUSTIFICATION
Face au constat général et partagé du sous-développement qui plomb notre localité, un sentiment d’amertume et de désolation partagé par les jeunes du quartier s’est vite propagé.
Il était alors question soit, de rester là à s’apitoyer sur notre sort, ou de faire bloc et se lever comme un seul homme pour participer à l’effort de développement socio-économique de notre localité.
C’est eu égard à ces considérations, que les jeunes ont fini par comprendre que la politique impose un rapport de force. Oui il faut une masse pour se faire entendre. Le choix a été unanimement partagé sur la personne de Chérif AtkhanaFALL pour porter leur voix.
C’est ainsi qu’est né le mouvement de soutien ADC@F au mois de Mai 2021.
II. PRESENTATION DU LEADER
Il est légitime voire même fondamental de connaître la personne avant de s’engager à ses côtés. Chérif Atkhana Fallest un fils du quartier qui a toujours œuvré, en silence, pour le développement local.
Juriste de formation avec un Master II en Partenariat Public-Privé, son parcours élogieux témoigne du Leader qu’il est devenu aujourd’hui :• Membre du comité technique d’élaboration des textes complémentaires sur les Comités de Développement Sanitaire ;• Formateur national des Comités de Développement Sanitaire ;• Membre du comité technique Partenariat Public-Privé du Ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS) ;• Membre du comité technique du guide sur la gouvernance sanitaire locale ;• Formateur national en gouvernance sanitaire ;• Formateur national sur le guide de planification du MSAS ;• Formateur leadership et management associatif ;• Membre Comité Directeur CNG de Lutte du Sénégal ;• Ancien Président du Réseau des Etudiants Amateurs de Lutte (REAL)• Promoteur de spectacle ;• Président de l’Amicale des Etudiants Juristes de l’UDB de 2004 à 2006 ;• Membre Comité Directeur du COMEVA du Pr Awa Marie Coll SECK ;
A côtés de ses qualités intellectuelles et humaines, il ne cesse d’œuvrer pour le social.
III.CONVICTIONS POLITIQUES – PROMOUVOIR L’ALTERNANCE GENERATIONNELLE :
Pour reprendre l’autre qui disait que : « la jeunesse c’est l’heure des combats ».
Cette phrase résume l’ambition politique de notre Leader. Il a très tôt compris que le développement au-delà d’être une aspiration, est un combat à mener au quotidien.
Préoccupé par le devenir de sa localité, il s’est toujours résolument engagé à ses côtés. Son soutien indéfectible aux côtés de la population de Champs de Course en particulier et de Diourbel en général n’est plus un secret de polichinelle. Son expérience dans l’événementiel et son Leadership affirmé font qu’il bénéficie du soutien de la jeunesse. C’est d’ailleurs ce qui fait sa force « par la jeunesse et pour la jeunesse ».
A son image, il s’est résolu à faire des jeunes des leaders d’aujourd’hui et de demain. L’heure est à l’alternance générationnelle comme il aime le dire. Les jeunes doivent monter au créneau et porter toutes les aspirations de leurs localités respectives.
Cet appel a été positivement accueilli par la jeunesse qui s’est sentie imprégnée et impliquée dans cette cause.
B- EXIGER LA MERITOCRATIE ET LA REDEVABILITE :
S’il y a des regrets par rapport à la situation que traverse le pays, c’est certainement parce que le mérite n’y est plus ou peu récompensé.
Il faut que cette injustice cesse. « L’homme qu’il faut, à la place qu’il faut ». Il faut primer les plus méritants et encourager les autres. Combien sont-ils aujourd’hui des jeunes diplômés qui sont sur la touche alors qu’il aurait juste fallu d’un stage pour qu’ils soient opérationnels ?
Combien sont-ils des jeunes qualifiés sans soutien en attente désespéré d’un financement ?
Notre vision est orientée sur une approche participative et inclusive. Mieux outiller les jeunes pour faire face au monde de l’emploi et les accompagner dans la vie active. Ce combat passe par l’élection de la « méritocratie » au rang de principe directeur dans nos actions de tous les jours.
C– EXIGER :
Une bonne planification inclusive et participative :
Le temps d’un pouvoir central qui planifiait au niveau de la base pour appliquer ses politiques aux échelons inférieurs est révolu. Nous nous engageons pour une politique pilotée à partir de la base vers le sommet. Et pour se faire, il est essentiel d’être à l’écoute mais aussi de faire participer tout un chacun à cet outil indispensable qu’est la planification. Sans planification il faut le dire, aucune politique pérenne n’est envisageable.
Un suivi régulier
Planifier c’est bon, mais le suivi est nécessaire pour une concrétisation.
Ce suivi nous impose de déléguer les tâches et de responsabiliser les uns et les autres. Cette responsabilité doit être entendue comme un sacerdoce individuel qu’on s’impose afin de participer significativement à l’effort de développement communautaire.
Une évaluation rigoureuse
Enfin une évaluation objective est gage de réussite pour toute politique.
Il faut que l’on puisse mesurer l’impact de nos actions politiques sur le terrain par l’adoption de mécanismes efficaces et simples qui feront ressortir les axes forts et les autres à améliorer voire supprimer. Loin des politiques abstraites textuellement magnifiques mais concrètement insignifiantes. Il nous faut appliquer la rigueur en toute objectivité. Voilà le sens de notre combat.
D- PROMOUVOIR LES FINANCEMENTS INNOVANTS :
Nous sommes convaincus qu’avant de financer, il faut impérativement former et encadrer. Il ne sert à rien de financer pour financer. Nous disons non à cette politique masquée du financement où les plus proches sont toujours servis. Accompagnons les jeunes et les femmes vers des financements innovants.
Par ailleurs le financement des collectivités territoriales pose un réel problème.
Dans ce contexte particulier marqué par la territorialisation des politiques publiques, les collectivités territoriales font face à un problème réel et avéré de mobilisation des ressources. A n’en point douter, les impôts directs locaux traditionnels produisent des recettes faibles voire insignifiantes compte tenu de l’autonomisation proclamée. A cela s’ajoute les transferts de l’Etat qui également sont insuffisants. Pour y remédier, il est donc impératif de faire recours aux financements innovants pour accélérer le développement socioéconomique.
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