Le nouveau régime trace une voie : une gouvernance de résultats, un peuple réhabilité

À peine installé, le nouveau régime imprime déjà sa marque sur l’histoire contemporaine du Sénégal. En moins d’un an, le pouvoir en place a insufflé une dynamique sans précédent, mêlant rigueur, audace et proximité. Là où certains promettaient, lui agit. Là où d’autres tergiversaient, il tranche. Les actes posés relèvent moins de la politique ordinaire que d’un véritable souffle de refondation nationale.
Un pouvoir tourné vers le peuple, une économie remise sur ses pieds
Dès les premières semaines, les priorités ont été claires : soulager les populations, restaurer le pouvoir d’achat et redonner confiance aux oubliés du progrès. Le paiement intégral de la dette paysanne, la baisse spectaculaire des prix sur des produits de première nécessité (farine, riz, huile, sucre, ciment) et la determination de procéder à l’activation de 2 000 boutiques témoins témoignent d’un volontarisme sans ambiguïté. Avec une subvention de 53 milliards FCFA consacrée aux denrées alimentaires, l’État démontre qu’il entend être le bouclier de ses citoyens.
Le soutien aux étudiants, aux retraités et aux couches vulnérables n’est pas en reste. Les bourses sont versées avec régularité, les orphelinats appuyés, les enseignants du supérieur entendus, et des centaines de Sénégalais en détresse à l’étranger ont été ramenés au bercail. Il ne s’agit plus de promesses, mais d’actes concrets, mesurables, palpables.
L’économie nationale sous perfusion de réformes et d’investissements audacieux
Sur le front économique, les signaux sont au vert. Le paiement de la dette intérieure aux entreprises, les financements aux PME via le FONGIP, l’appui à la presse, la commande publique réorientée vers les producteurs locaux, tout cela constitue une injection vitale de ressources dans le tissu économique. Une centrale d’achat pour l’administration vient d’être lancée, dans une logique d’efficacité et de souveraineté.
Le port enregistre une croissance de son chiffre d’affaires (77,34 milliards FCFA, +9 %), l’Eurobond de 2014 a été remboursé à échéance, et les levées de fonds sur les marchés ont pulvérisé tous les records : 405 milliards mobilisés en quinze jours, bien au-delà des prévisions. Le Sénégal caracole aujourd’hui en tête des économies les plus dynamiques d’Afrique, avec un taux de croissance de 8,4 %.
Des projets structurants pour un avenir maîtrisé
La relance est aussi physique : routes ouvertes, usines redémarrées, villages électrifiés à une cadence record (160 en 3 mois !), infrastructures modernisées. L’inauguration de la chambre froide de SWAMI AGRI, le lancement de la Grande Autoroute de l’eau et le programme PROMOREN illustrent cette ambition de développement maîtrisé : 12 000 hectares irrigués, 30 000 emplois projetés, 46,6 millions de m³ d’eau mobilisés pour nourrir la terre sénégalaise.
La SONACOS, autrefois à genoux, reprend du service. La SAR permet désormais au pays d’économiser plus de 500 milliards FCFA en raffinant localement. C’est un redressement industriel qui se joue sous nos yeux.
Justice, transparence et rupture avec les privilèges
Côté gouvernance, la rupture est assumée : suppression de l’accord de pêche avec l’Union européenne, récupération de biens de l’État (15 milliards FCFA, 92 véhicules, 22 terrains, 40 maisons du patrimoine public), le tout dans un climat de justice apaisée, sans recours ni contestation. Le message est clair : nul n’est au-dessus de la loi.
Une vision à long terme, des syndicats écoutés, un pays en mouvement
L’État ne gouverne plus à courte vue. Il dialogue, planifie et structure sa vision jusqu’en 2050. Les syndicats sont reçus, les conflits désamorcés par l’écoute. Le climat social s’en trouve pacifié. En toile de fond, se dessine un horizon agricole radieux avec plus de 500 coopératives en gestation, capables de générer 600 000 emplois à terme.
Un nouveau souffle traverse le Sénégal. Le pays, longtemps freiné par l’inertie et les querelles, semble enfin en mouvement. L’Histoire retiendra que c’est dans ces premiers mois que le cap a été redressé avec courage, méthode et humanité.