Un cri du fond du coeur, Diourbel à la croisée des politiques?
Après la bataille rangée des aperistes du département de Diourbel, un jeune intellectuel et digne fils de la localité, Mourtalla Gueye réagit.
De l’indépendance a maintenant, l’histoire politique de Diourbel est jalonnée de conflits graves. Hélas la désillusion continue son chemin .
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En effet d’âpre compétition oppose les puissants politiciens a Diourbel laissant perplexes les Diourbellois que nous sommes tant sur le fond que sur la forme peu rassurant.
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Au sortir des événements odieux et alarmants de ces derniers jours , devrons nous rester passifs ou silencieux a l effervescence que la réunion des pouvoiristes( apr et maire) féconde: des casses et du bruit .
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Des questions se bousculent dans mon esprit ci baolbaol : sont ils dignes de nous représenter ?
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Ont ils la sagesse de nous représenter?
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Quels intérêts défendent ils , personnels ou communs ?
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Pourquoi ces dérives?
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En essayant de répondre a ces interrogations, d’autres questions suscitent mon attention sur la politique a Diourbel.
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Est ce que les gens ont la sincérité de leur compagnonnage ?
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Est ce qu’ils ont aussi le courage d’aller seuls ?
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Les casés( derecteurs généraux) veulent ils conceder la députation pour garder leurs postes ou pensent ils vraiment devoir ça a leur allié ?
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Tant de questions que seule la maturité des diourbellois peuvent répondre non pas de considérer exclusivement leurs générosités parfois empoissonnées mais sur celui qui a le mérite , et la compétence pour députer les problèmes de Diourbel.
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On a plus le droit a l’erreur dans le choix de nos représentants. Il ne s’agit point de parti mais plutôt de profil identifié et reconnu.
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Alphred vigny disait » on ne doit ni amour ni haine aux gens qui nous gouvernement mais que le sentiment qu’ils ont pour leurs cochers : bien ou mal » ma réflexion ne s adresse aux esprits qui se préoccupent exclusivement des intérêts citoyens ,aux jeunes politiciens ambitieux qui impressionent et aux leaders intégrés mais aussi aux autres jeunes fans de leaders et soumis aveuglément et aux jeunes bavards n’existant que par l’éloquence des soufistes discrets qui écrivent a leur place.
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Qu’on se détrompe mes chers.